Lamentations d'un début de soirée, Pt 3

J'écris l'histoire, l'histoire d'un garçon foudroyé par la vie dès la naissance. Surement par manque de chance. On ne choisit pas sa famille. C'est pour cela qu'elle est pourrie. On choisit ses amis. C'est pour ça qu'ils sont merveilleux.
" Ah désolé ton oncle et ta tante. " J'assume. Non, je subis. Si ça se trouve, ils m'épient. Ils s'interressent donc à ma vie ? Pourquoi pas.
En un jour, en un lieu, j'attend ce précieux évenement. Je ne veux plus lui expliquer tout celà, avoir ainsi à me justifier. Je fais ma vie.
On dit qu'on ne peut pas changer quelqu'un. C'est vrai. Ca fait longtemps que j'attend le temps ou elle arettera de geindre. Ce fut bien attendrissant au début, mais ça devient lassant à présent. Je ne suis même plus libre de mes actes, de ma vie. Elle est pourtant bien magnanime
Voilà une prolepse qui n'est pas salutaire.
[ Non ! Arettes ! Ne fais pas ça ! Pourquoi tu lui fais ça ? Pourquoi il y a la police ? ]
En fait il l'a violé. Je le retrouverais.